Author: admin_lemondedelasecurite

  • La fin de la couverture du risque de ransomwares par les assureurs ?

    La fin de la couverture du risque de ransomwares par les assureurs ?

    Depuis deux semaines, l’ANSSI et le Parquet de Paris mettent en cause les assureurs qui proposent une garantie couvrant les rançongiciels. Selon eux, cette prise en charge des sommes exigées par les cybercriminels inciterait à la multiplication des attaques contre les entreprises.


    Les rançongiciels en France : faut-il vraiment blâmer les assureurs ?

    D’après le Cesin (Club des experts de la sécurité de l’information et du numérique), 19 % des entreprises françaises ont été victimes d’une attaque par ransomware au cours de l’année écoulée.
    Et selon un rapport publié par Hiscox, près de deux tiers d’entre elles ont accepté de payer la rançon pour reprendre leurs activités.


    Les autorités pointent du doigt la complaisance face aux pirates

    Il y a deux semaines, lors d’une audition au Sénat, l’ANSSI (Agence nationale de la sécurité des systèmes informatiques) et le parquet de Paris ont reproché aux acteurs de la cybersécurité – notamment les assureurs – leur propension à rembourser trop facilement les rançons.
    Selon eux, cette pratique alimente directement le phénomène :

    « Si la France est autant ciblée par les rançongiciels, c’est parce que nous payons trop facilement. En cédant, nous encourageons les hackeurs à s’attaquer à notre tissu économique, persuadés que les Français paieront. »

    En réaction, AXA France a annoncé ce lundi la suspension de la couverture des rançons dans ses contrats de cybersécurité. Une décision symbolique, même si la loi n’interdit toujours pas cette garantie.


    Les assureurs sont-ils vraiment responsables ?

    Pour Arnaud Gressel, courtier spécialisé en risques Sûreté et Cyber chez RESCO Courtage et intervenant à l’IHEMI, la responsabilité ne doit pas être imputée aux assureurs.

    « Les remboursements de rançons représentent une part infime des sinistres. En réalité, ce sont surtout les entreprises non assurées qui finissent par payer. Quand une société dispose d’une assurance cyber, un dispositif de crise se met en place en moins de deux heures. »

    Le spécialiste reconnaît néanmoins que le paiement d’une rançon peut rester un dernier recours :

    « L’assureur fait tout pour éviter ce scénario, et les autorités ont raison : il faut éviter de payer. Mais si l’entreprise est au bord de l’asphyxie, cela peut devenir une question de survie. Et ce n’est pas une solution de facilité : il faut ensuite déchiffrer les serveurs, vérifier les postes, restaurer l’activité… Ce sont des coûts considérables. »


    Le vrai problème : la coordination de la lutte contre les rançongiciels

    Arnaud Gressel souligne que le cœur du problème réside ailleurs :

    « On parle de millions d’euros détournés puis blanchis. C’est sur ce terrain qu’il faut concentrer les efforts. Les assureurs ne sont pas la cause du problème. La priorité, c’est la prévention et la gestion de crise. »

    Selon lui, le paiement d’une rançon doit rester une possibilité exceptionnelle, prévue dans les contrats, mais réservée aux cas extrêmes :

    « Si cette option disparaît, certaines entreprises n’auront tout simplement pas les moyens de se relever après une attaque. »


    En somme, pour ce courtier, le rôle des assureurs n’est pas de payer, mais d’accompagner les entreprises, renforcer leur résilience et limiter le risque d’exposition. Le paiement d’une rançon ne doit jamais être une stratégie — seulement une ultime alternative, quand la survie même de l’entreprise est en jeu.

  • La Guerre des émeus : Australie-Occidentale, 1932

    La Guerre des émeus : Australie-Occidentale, 1932

    En bref :

    • En 1932, l’Australie lance une opération militaire inédite contre les émeus, entraînant une défaite retentissante et un épisode historique devenu légendaire.
    • La migration de milliers d’émeus dans les territoires agricoles provoque une crise chez les agriculteurs d’Australie-Occidentale, déjà fragilisés par la Grande Dépression.
    • Armée de mitrailleuses, l’intervention des soldats tourne au fiasco face aux oiseaux agiles et résistants, suscitant l’ironie des médias internationaux.
    • Symboles émergents de la résilience animale et de l’absurdité humaine, les émeus nourrissent depuis un mythe culturel contemporain, visible dans de nombreux médias et œuvres artistiques.
    • L’opération éclaire les enjeux de la gestion de la faune, de la cohabitation homme-nature, et met en avant l’impact écologique essentiel de l’émeu, aujourd’hui protégé en Australie.

    À l’aube des années 1930, le vaste territoire austral du Commonwealth se retrouva confronté à une crise agricole d’un nouveau genre. Les plaines arides de l’Australie-Occidentale, déjà meurtries par la Grande Dépression, virent déferler des milliers d’émeus détruisant barrières, cultures et espoirs de réussite des nouveaux colons, en grande partie des vétérans de la Grande Guerre. Cette situation inédite aboutit à une décision tout aussi singulière : une intervention militaire contre des oiseaux, marquant à jamais l’imaginaire collectif.

    De cette confrontation rocambolesque naquit un récit fascinant fait d’ironie, d’adaptation et de questions profondes sur les limites humaines face à la nature. De l’échec retentissant des soldats et de leurs mitrailleuses, à la résilience silencieuse des émeus, le conflit révèle bien plus qu’un simple épisode insolite : il ouvre un débat crucial sur la place de la faune sauvage dans des territoires façonnés par l’homme et inscrit son souvenir jusque dans la culture populaire australienne. Illustrez ce pan d’histoire pour réfléchir, avec un brin de sourire, aux choix stratégiques parfois déroutants que nous réserve l’Histoire.

    La Guerre des émeus : Australie-Occidentale, 1932

    Quand l’Australie a affronté les émeus… et (presque) perdu !

    Chronologie

    1. Novembre 1932 · Les dégâts des émeus explosentDes milliers d’émeus migrent vers les terres cultivées, détruisant clôtures et récoltes. Les agriculteurs réclament l’aide du gouvernement.
    2. 2 novembre 1932 · Début de ‘l’opération militaire’Le gouvernement envoie des soldats équipés de deux mitrailleuses Lewis pour repousser les émeus autour de Campion.
    3. 4 novembre 1932 · Premier échecLes émeus, très rapides et impossible à encercler, échappent aux tirs. Les mitrailleuses surchauffent, la tactique échoue.
    4. 8 novembre 1932 · Une 2ème tentative… tout aussi vaineNouvelle offensive près du barrage de Chandler : seuls quelques émeus sont tués, malgré l’utilisation d’un camion-mitrailleuse.
    5. Décembre 1932 · Fin de l’opérationL’armée admet l’échec face à l’agilité des oiseaux. L’opération est abandonnée, les émeus triomphent.

    Voir un fait insolite sur la guerre des émeus

    Outil créé pour illustrer l’article « La guerre absurde : Australie vs Émeus (1932) ».

    La guerre des émeus en Australie : contexte, déroulement et impact écologique et culturel

    Origines historiques et causes de la guerre des émeus en Australie occidentale

    Pour saisir toute la portée de la « guerre des émeus », il faut replonger dans la réalité de l’Australie-Occidentale du début du XXe siècle. Entre les villes éparses de Campion et de Walgoolan, la terre semblait prometteuse à de nombreux vétérans de la Première Guerre mondiale. Incités par les pouvoirs publics à reprendre les champs laissés vacants après 1918, ces pionniers du bush durentaient pourtant rapidement déchanter. La sécheresse, les sols appauvris ainsi que les difficultés d’isolement rendaient la vie et l’activité agricole éprouvantes, aggravées par la chute du prix des grains et la pression de la Grande Dépression mondiale.

    À l’été 1932, cette fragile équation se dégrade avec l’arrivée inattendue de milliers d’émeus en migration. Ces grands oiseaux terrestres, emblématiques des étendues australes, se rassemblent volontiers lors de la saison sèche — phénomène alors bien connu des habitants. D’une taille pouvant dépasser 1,80 m et pesant jusqu’à 45 kilos, ils sont dotés d’une force impressionnante et surtout d’une capacité à parcourir plus de 50 km en une journée, toujours à la recherche d’eau et de graines.

    Cette année-là, une dégradation des barrières protectrices dues aux intempéries et à l’isolement financier a permis aux émeus de s’aventurer massivement vers les exploitations agricoles, causant des pertes considérables. Selon les témoignages, les oiseaux n’hésitent pas à piétiner les champs nouvellement semés, à ravager les récoltes et même à arracher des clôtures, mettant à mal tous les efforts des agriculteurs.

    Le comportement grégaire des émeus accroît leur nuisance perçue : ils se déplacent en vastes groupes, coordonnant leurs mouvements, ce qui complique toute tentative de protection mécanique ou humaine. Les premiers efforts des agriculteurs — barrières renforcées, efforts de chasse individuelle — se soldent par des échecs, attisant la frustration et l’effroi devant la « vague » d’oiseaux indigènes.

    Face à l’incapacité manifeste à juguler le problème par des moyens conventionnels, la colère monte. Les jurys locaux, les autorités agricoles et la presse commencent à relayer la détresse des exploitants, ce qui pousse l’appareil d’État à considérer une approche radicale, impensable a priori : faire intervenir l’armée.

    FacteurImpact sur la crise agricoleEffet sur la population d’émeus
    SécheresseBaisse des récoltes, pression accrue sur les agriculteursMigration massive vers les zones cultivées
    Sols pauvresFaible rendement, difficultés économiquesAttirance des émeus pour les parcelles fertiles
    Effondrement du prix des céréalesRuine financière des colonsPas d’effet direct, mais hausse de la tension homme-animal
    Barrières endommagéesFaible maîtrise de l’espace agricoleFacilité d’intrusion pour les oiseaux
    • Émeus : capables de dépasser 55 km/h, ils parcourent de longues distances, franchissant les obstacles naturels sans difficulté.
    • Migration saisonnière : aggravée par les sécheresses successives, leur passage par les zones agricoles devient quasi-inévitable.
    • Agilité et comportement collectif : l’union fait la force, particulièrement pour contrer les tentatives humaines de blocage.

    La situation semblait inextricable, et c’est dans ce contexte social et écologique tendu que la fameuse « guerre » allait éclater. Forçant ainsi les autorités à réévaluer les rapports entre cultivateurs et faune sauvage, l’endurance des émeus incarnait déjà un certain esprit australien, à la frontière entre acharnement et adaptation.

    Pour approfondir cette étape charnière, consultez l’analyse détaillée sur National Geographic, ou baladez-vous à travers la reconstitution historique proposée par La Manche Libre.

    Déroulement, échec militaire et héritage de la guerre des émeus : conséquences écologiques et symboliques

    Le lancement officiel de l’opération militaire débute en novembre 1932, sous l’autorité du ministre de la Défense, Sir George Pearce. Deux soldats vétérans, le major Meredith et ses hommes, sont dépêchés sur place, équipés de deux mitrailleuses Lewis et de 10 000 cartouches. Malgré la solennité de la tâche, l’esprit sur le terrain évoque rapidement celui d’une mission absurde, un brin désespérée.

    Les premières confrontations virent les émeus zigzaguer entre les rafales, forts d’une agilité remarquable. Les témoignages rapportent que, loin de se paniquer, les oiseaux se dispersaient en petits groupes, certains formant des « escadrilles » selon la presse, avec un individu « chef » à leur tête. Le terrain accidenté, le sable et la poussière enrayent régulièrement les mitrailleuses, obligeant les soldats à interrompre le tir. Les émeus, eux, semblaient presque moqueurs, résistant parfois à plusieurs balles sans ralentir leur course.

    L’efficacité de l’opération est rapidement remise en question. Après plusieurs jours, moins de 2 500 émeus sont abattus — sur un total estimé à plus de 20 000 oiseaux présents dans la région. L’armée se retire, laissant les récoltes sans protection et provoquant l’hilarité généralisée au sein de la presse mondiale. Des caricatures brocardent les ambitions belliqueuses du gouvernement, transformant la défaite en véritable mème avant l’heure. Sir George Pearce, qualifié d’« émeu-en-chef » par certains médias, résumait bien l’humour grinçant de l’époque.

    • L’opération militaire fut perçue comme un acte de propagande maladroite, ridiculisée aussi bien en Australie qu’à l’international.
    • La guerre des émeus devint rapidement un sujet de satire parlementaire et populaire.
    • Le ratio « balles tirées / émeus tués » témoignait de l’inefficacité de la méthode, suscitant un débat national sur le bon usage des fonds publics.
    ÉvénementConséquence immédiateRéaction sociétale
    Déploiement militaireMise en échec par les émeusMoqueries médiatiques et débats parlementaires
    Echecs des mitrailleusesInterruption fréquente des offensivesMontée du scepticisme populaire
    Retrait de l’arméeAucune réduction significative des dégâts agricolesTransformation en mythe australien
    Mise en place de primesChasse accrue, élimination de dizaines de milliers d’oiseauxPolémique éthique, débat environnemental

    Mais l’histoire de la « guerre des émeus » ne s’arrête pas au ridicule militaire : cette défaite spectaculaire contraint le gouvernement à poursuivre la lutte par d’autres moyens, en encourageant la chasse via un système de primes, bien plus redoutable pour les oiseaux. Sur dix ans, des dizaines de milliers d’émeus sont tués ; toutefois, le conflit alimente un débat essentiel sur la gestion de la faune autochtone et la résilience des espèces indigènes.

    Scientifiquement inattendue, cette confrontation a permis de découvrir des aptitudes exceptionnelles chez l’émeu : muscles puissants des pattes, vitesse fulgurante, endurance et surtout une étonnante capacité d’adaptation aux défis environnementaux. Leur rôle dans l’écosystème australien est aujourd’hui valorisé : les émeus dispersent, parfois sur des centaines de kilomètres, les graines de plantes natives telles que le quandong, garantissant la régénération des milieux naturels. Leur présence favorise la biodiversité des prairies et la survie d’arbustes endémiques.

    Devenus symbole de débrouillardise, d’humour et de survie, les émeus occupent désormais une place majeure dans la culture et l’imaginaire national. Leur effigie figure sur les armoiries de l’Australie, les pièces de 50 cents, et jusqu’au logo des équipes sportives. Depuis 1999, ces oiseaux jouissent d’une protection légale, témoignant de l’évolution de la société australienne dans sa perception de la faune sauvage. D’ailleurs, nombreux sont ceux qui voient dans la guerre des émeus une allégorie des rapports imprévisibles entre l’homme et la nature — sujet encore traité sur Cultea ou à retrouver dans la synthèse en ligne de l’encyclopédie Wikipédia.

    • Placez l’émeu parmi les icônes nationales d’Australie, tant pour ses qualités biologiques que pour la légende dont il est porteur.
    • Référencez cette « guerre » comme point de réflexion sur la maîtrise des espaces naturels et la préservation écologique à l’ère moderne.
    • Consultez LibreMedia ou LeFreeCoin pour un panorama complet de ses ramifications culturelles.
    • Observez dans les anecdotes locales la capacité des émeus à « humilier » la stratégie militaire humaine, devenant le modèle du « survivor » australien.

    À l’échelle du temps, la « guerre des émeus » révèle moins un affrontement homme-oiseau, qu’un miroir des paradoxes de l’agriculture du bush et des défis environnementaux contemporains. Si la faune indigène reste parfois perçue comme une menace, elle se montre aussi précieuse alliée de la régénération des terres. Cette histoire, dans sa dimension joyeusement absurde, demeure une pierre angulaire du récit collectif australien, entre autodérision et respect profond pour la nature.

    Quel était l’objectif principal de la guerre des émeus ?

    L’objectif de l’opération était de protéger les cultures des agriculteurs australiens contre la destruction causée par des milliers d’émeus migrateurs. Cependant, la stratégie adoptée s’est rapidement révélée inefficace face à l’agilité et la ténacité des oiseaux.

    Pourquoi l’opération militaire a-t-elle été un échec ?

    La guerre des émeus a échoué principalement en raison de la vitesse, de la puissance et de l’organisation des émeus, qui rendaient les tirs imprécis et les actions des soldats inefficaces. Les mitrailleuses s’enrayaient fréquemment et l’intelligence collective des oiseaux a surpassé la tactique humaine.

    Quel est le rôle écologique de l’émeu en Australie ?

    Les émeus jouent un rôle crucial dans la dissémination des graines et la régénération de la végétation, comme le quandong. Leur présence favorise la diversité et l’équilibre des écosystèmes australiens.

    Comment la guerre des émeus est-elle perçue aujourd’hui en Australie ?

    Aujourd’hui, elle est vue comme un épisode emblématique de l’histoire, empreint d’autodérision. L’émeu est valorisé comme symbole de résilience australienne, protégé par la loi et célébré dans la culture populaire.

    Où en savoir plus sur la guerre des émeus ?

    Consultez les ressources en ligne spécialisées telles que National Geographic, LibreMedia ou Wikipedia pour approfondir l’histoire et l’analyse de ce conflit singulier.

  • Avocat de libertés – Livre de Yassine Bouzrou – Éditions Nouveau Monde

    Avocat de libertés – Livre de Yassine Bouzrou – Éditions Nouveau Monde

    Résumé

    Yassine Bouzrou lance sa pratique en indépendant en 2007 avec une affaire mettant en cause des policiers. Cette première expérience le confronte aux faux témoignages, aux connivences entre institutions administratives, politiques et judiciaires, ainsi qu’au monde médiatique. Elle révèle également l’efficacité de son plaidoyer. Son deuxième dossier lui est confié par Ladj Ly, futur réalisateur, concernant l’affaire de Montfermeil (2008) qui inspirera le film Les Misérables. Il obtiendra la condamnation des policiers responsables. Plus tard, durant le mouvement des Gilets jaunes, il prend en charge le dossier emblématique de Zineb Redouane, octogénaire décédée à Marseille après avoir reçu une grenade lacrymogène au visage alors qu’elle se trouvait à la fenêtre de son domicile. Son investigation mettra en cause les forces de l’ordre.

    Issu d’une famille berbère originaire de Tiznit au Maroc, installée en France dans les années 60, Yassine Bouzrou grandit dans un quartier modeste de Courbevoie, entre un père livreur et une mère aide-soignante. Bien qu’il ait rêvé d’une carrière de footballeur, il intègre à 29 ans le classement GQ des trente avocats les plus influents de France. Fidèle à ses convictions, il représente plusieurs victimes de brutalités policières pendant les Gilets jaunes et défend la famille d’Adama Traoré avec la même combativité. “Je finis toujours le travail pour lequel on me paie” : cette réplique du film Le Bon, la Brute et le Truand est sa devise. Cinéphile, il collectionne les citations tirées de L’Impasse ou du Parrain.

    Composé de témoignages inédits et véridiques, cet ouvrage constitue un plaidoyer pour les libertés, porté par un héritier légitime de Robert Badinter et Henri Leclerc. À 42 ans, Yassine Bouzrou exerce comme avocat pénaliste et intervient dans de nombreux procès médiatisés, notamment en matière criminelle, de violences policières présumées et d’atteintes à la vie privée.

    Caractéristiques

    Éditeur : Nouveau monde
    Date de parution : 16/02/2022
    Nombre de page : 224
    EAN : 9782380942750
    Dimension : 14 x 21 cm
    Poids : 0.412 KG